Compte-rendu du 18 novembre 2006
Etaient présents :
– Eric LECHEVALLIER, représentant du collectif A5 pour l’AEDAA
– Katell AUGUIE, présidente de l’AEDAA
– Quentin DUPUIS, administrateur de l’ADEDA 78
– Christophe JACOBS, président de l’AICI
– Chloé ROELENS, présidente de l’ADEDA 78
– Clarisse VENUAT, représentante du collectif A5 pour l’ADELITAD
– Nelly COTTET, présidente de l’ADELITAD
– Florence SIGURET, trésorière de l’ADELITAD
– Agnès DEJOB, représentante du collectif A5 pour l’ADAL
– Elizabeth DUPLEIX, représentante du collectif A5 pour l’AICI
Par téléphone,
– Matthieu PROFIZI, président de l’AEDA-UP
1- Bureau Emploi
– Organisation de la collecte
La collecte est maintenant complètement mutualisée. Une adresse commune aux 5 bureaux emploi a été créée (collectif_archives_emploi@yahoo.fr).
L’AEDAA doit cependant approuver en assemblée générale (le 2 décembre 2006) cette mutualisation de la collecte. L’ADELITAD votera ce point cet après-midi en assemblée générale.
Les 5 associations se sont réparti les sites pour la collecte (environ 4 sites par assoc : 2 gros et 2 plus petits). Toutes les offres sont envoyées sur une liste de diffusion du bureau emploi. Chaque association y pioche pour sa diffusion.
Il est important de rappeler à chaque bureau emploi que pour un bon fonctionnement les offres doivent être relevées et envoyées régulièrement à la liste de diffusion du bureau emploi en respectant le modèle de présentation.
Katell doit nous envoyer la liste des sites où la collecte est effectuée ainsi que leur répartition entre les différentes associations.
– Organisation de la diffusion
Pour l’instant, seules l’ADAL et l’ADEDA 78 assurent une diffusion commune. Le bulletin emploi et le bulletin stages sont envoyés tous les 15 jours à l’ ensemble des adhérents des 2 associations par messagerie électronique. Les offres (d’emploi et de stage) urgentes sont envoyées immédiatement. Cette diffusion était assurée par Cédric BROET (ADEDA 78) depuis + d’1 an. Elle est maintenant assurée par Audrey JOLY (ADEDA 78). L’idée est que cette charge de diffuseur soit assurée alternativement par les 2 associations pendant 1 an.
L’AEDAA diffuse les offres collectées sur l’espace adhérent de leur site Internet. Un bulletin récapitulatif est envoyé tous les 10 jours par liste de diffusion. L’AICI assure la diffusion des offres (comment ?) et ajoute les offres concernant le Multimédia. L’ADELITAD diffuse également à part les offres par mail, se rajoutent aux offres traditionnelles les offres de documentation.
– Mutualisation de la diffusion
Il serait fort souhaitable que, à terme, la diffusion soit également complètement mutualisée pour les 5 associations.
Afin d’assurer une diffusion complète pour l’ensemble des associations malgré des besoins différents, il est proposé de structurer le bulletin thématiquement en 3 parties : Archives, Documentation et Multimédia.
Cette proposition sera faite à l’ensemble des associations et les modalités pratiques de la mise en place devront être prises par les bureaux emploi (notamment la périodicité, la mise en forme). Il devra être expliqué aux différents adhérents de nos associations que ce fonctionnement permettra un gain de temps important et ne changera en rien l’exhaustivité des offres parues.
La mutualisation de la diffusion sera votée par l’assemblée générale de l’AEDAA.
– Tenue des statistiques
Cette tâche était jusqu’à maintenant assurée par une personne de l’AEDAA.
Etant donné l’importance d’avoir des statistiques complètes et précises de l’offre d’emploi et dans la mesure où plusieurs personnes se sont portées volontaires à l’ADEDA 78 pour le bureau emploi, il a été proposé qu’une personne soit spécifiquement chargée de la tenue des statistiques. Il s’agit d’Anne BOULENC (ADEDA 78).
2- Objectifs du collectif
A la suite de discussions au sein du Collectif et des remarques des nouveaux représentants de l’ AICI, une discussion s’ engage sur les positions défendues jusqu’ ici par le collectif. Il est très important pour la bonne entente du collectif que tous les points de vue soient exprimés afin qu’il n’y ait pas d’ambiguïté sur des positions collectives. Il est en effet normal que le débat existe entre nous !
Nous sommes donc bien d’accord que les objectifs du collectif sont :
- Promouvoir le métier d’ archiviste et l’ emploi d’ archivistes qualifiés pour les missions d’ archivage dans le public comme dans le privé.
- Aider les jeunes archivistes diplômés à s’ insérer dans le monde du travail (bureau emploi) et étudier les conditions de cette insertion.
- Travailler en collaboration avec différentes associations professionnelles.
L’implication du collectif A5 dans l’ouverture aux non chartistes des concours de conservateur n’est absolument pas une réaction corporatiste à un autre corporatisme. Notre objectif dans ce débat est que tous ceux qui le souhaitent aient le droit de se présenter au concours et aient le droit de devenir archivistes. C’est pourquoi nous n’avons pas demandé une ouverture du concours uniquement aux diplômés en archivistique mais une ouverture générale comme les autres spécialités du concours. Notre souhait est que l’ensemble des concours de la filière culturelle ait un contenu à la fois scientifique et technique. Nous ne sommes pas opposés à un concours réservé pour les chartistes qui, par leur scolarité à l’école des chartes, méritent certainement des facilités d’accès.
Il est proposé que lors de la prochaine réunion du collectif soient invités des chartistes pour pouvoir discuter ensemble de ces sujets et pour amorcer une collaboration sur la nécessité d’une meilleure prise en compte des besoins en archivistes, d’une meilleure reconnaissance de ce métier.
Le 2ème point abordé est l’étonnement quant à la « spécialisation » du collectif sur des
questions relatives à la fonction publique.
Sur ce point, nous regrettons de ne pas pouvoir plus intervenir dans le domaine privé mais les bonnes idées en la matière seront les bienvenues !
Si le collectif s’est investi sur des questions relatives aux archivistes de la fonction publique c’est aussi parce que cet investissement ne peut pas se faire seul et qu’en la matière nous avons le soutien de l’ABACC et de l’AAF, ce qui nous permet d’avancer plus rapidement et efficacement. L’enquête nous a montré que plus de 80 % de nos adhérents travaillent dans le secteur public. La question des emplois en CDD dans la fonction publique se pose pour de nombreux adhérents de nos associations : nous essayons d’aborder cette question le plus possible mais elle dépasse largement le domaine des archives et est plus une question de politique générale de l’ emploi public. Nous avons donc du mal à pouvoir influer à ce niveau là même si nous ne désespérons pas ! Mais il est bien clair que ces projets ne sont pas les seuls du collectif et qu’il est important aussi de se consacrer plus précisément à la mise en valeur de notre métier dans sa globalité.
Enfin, une autre raison pour laquelle l’investissement du collectif s’est plutôt manifesté sur la question de la fonction publique vient aussi du fait que les personnes les plus investies sont fonctionnaires et qu’elles sont, de ce fait, mieux placées pour parler de ce qu’elles connaissent.
Si des adhérents veulent voir le collectif aller vers d’autres projets, il est important aussi que des personnes puissent relayer ces projets, alors qu’ils n’hésitent pas à se proposer !
3- Fonction publique
Sur le dossier « Fonction publique », les actions menées par le collectif cette année ont été les suivantes :
- Rédaction d’un communiqué et d’un courrier aux ministres en janvier 2006 avec l’AAF, l’ABACC, l’AGCCPF et l’ABF sur le transfert des personnels de l’inventaire des DRAC aux collectivités territoriales.
- Rédaction d’un courrier en mars 2006 sur l’inscription au concours d’assistant qualifié adressé au président du CNFPT, courrier co-signé par le collectif A5, l’ABACC et l’AAF.
- Rédaction d’un courrier en juin 2006 avec l’AAF, l’ABACC, l’AGCCPF, l’ABF et l’ANACT sur la révision des statuts des attachés de conservation du patrimoine et des conservateurs territoriaux, aux Ministres de la Fonction publique, des Collectivités territoriales, de l’Intérieur, de la Culture, et du Ministre délégué au budget.
Tous les ministres ont répondu (les textes ou extraits de textes sont disponibles sur le site de l’ABACC). Les réponses reçues sont plutôt positives (ils soutiennent notre démarche et comprennent nos revendications) mais n’apportent pas de solutions aux problèmes soulevés.
- Soutien et diffusion de la pétition de l’ ABACC, lancée en juillet 2006, qui reprend nos demandes sur les cadres d’emploi des attachés de conservation du patrimoine et de conservateur territorial, envoi de la pétition aux ministres cités ci-dessus. Cette pétition, toujours en ligne sur le site de l’ABACC a déjà été signée par 1300 personnes : agents de la filière culturelle, élus et citoyens.
- Tentative d’inscription aux concours de conservateur du patrimoine (territorial et Etat) dans la spécialité Archives en saisissant la commission de recevabilité pour le concours territorial.
A notre grande surprise, 6 ou 7 personnes du collectif (titulaires d’un Bac + 5 en archivistique) ont été ainsi admises à concourir pour le concours territorial. Nous ne savons pas encore si ces personnes se sont présentées aux épreuves ni ce qui s’y est passé. L’essentiel est que la commission de recevabilité du CNFPT ait reconnu qu’un diplôme spécialisé en archivistique de niveau Master II a la même valeur que la troisième année de l’Ecole des Chartes pour présenter le concours de conservateur territorial. Reste encore à obtenir l’équivalent sur le concours Etat.
- Rédaction d’un communiqué « La filière culturelle, débouché rebouché ? » et d’un
courrier en juillet 2006 en réaction au nombre de postes annoncés au concours d’attaché
de conservation du patrimoine.
- Rédaction d’un courrier co-signé avec l’AAF, l’ABACC et l’AGCCPF aux ministres de la culture, des affaires étrangères, de la défense, des finances, de l’ équipement et de la fonction publique, en septembre 2006 sur nos propositions de réforme des statuts des personnels de la conservation du patrimoine des services de l’ Etat.
- Rédaction d’un communiqué « Le CNFPT compte et recompte les attachés de conservation » et d’un courrier en novembre 2006 adressé au président du CNFPT sur le nombre de postes corrigé au concours d’attaché de conservation du patrimoine.
Pour recevoir une copie des réponses à nos courriers, n’hésitez pas à nous en faire la demande
(contactez les représentants du collectif !)
4- Fonctionnement du Collectif :
– Prise en charge des frais communs :
Pour la répartition des frais communs, afin de rester équitable quant à la répartition des dépenses entre des associations qui ne disposent pas des mêmes moyens, l’idée est de répartir les dépenses en fonction du nombre d’adhérents par association.
Etant donné que les campagnes d’adhésion n’ont pas lieu au même moment, la période la plus propice à un recensement de nos forces vives serait avant les vacances d’été. Chaque année, nous ferons donc un bilan au 1er juin du nombre d’adhérents et nous attribuerons un pourcentage de participation aux dépenses collectives par association.
Il est proposé que la trésorerie commune soit assurée alternativement par chaque association. L’AEDAA se propose de commencer et enverra les factures correspondantes fin 2007.
Les frais communs sont :
- Frais de déplacement d’une personne du collectif en cas de réunion importante en essayant de privilégier la présence des personnes sur place ou celle de ceux qui maîtrisent le mieux le sujet.
- Frais de déplacement d’1 personne par association lors des réunions annuelles du collectif A5 afin que chaque association puisse être représentée lors des réunions.
- Les frais de déplacement seront remboursés pour des billets SNCF de 2ème classe (ou 1ère classe lorsqu’ils sont moins chers). Les frais de restauration ne sont pas considérés comme des frais communs.
Tous les frais dits « communs » devront préalablement être acceptés sur le FADAU par au moins 1 personne par association, afin d’éviter les dépenses surprise. Il est donc essentiel que l’ensemble des trésoriers d’associations soient inscrits au forum. Cette répartition des frais communs doit être validée par chaque association en Assemblée générale ou par le conseil d’administration afin d’éviter toute remise en cause du principe.
En ce qui concerne les 1ers frais communs (déplacement d’Eric pour l’AG de l’ABACC pour un montant global de 48,40€), il est proposé qu’exceptionnellement les frais soient répartis entre l’ADAL, l’ADEDA 78, l’AEDAA et l’ADELITAD car l’AICI est en panne de trésorerie.
Katell enverra une nouvelle facture de 12,10€ qui devra être payée avant le 2 décembre pour que les comptes de l’AEDAA puissent être clôturés.
– Participation des associations : inscriptions sur le FADAU, modalités de prise de décision, implication des associations.
Les inscriptions au FADAU sont actuellement gérées par Eric. Chaque association gère la « validité » de ses membres inscrits au FADAU et leur degré de responsabilité. Il est impératif que lors d’une inscription le fichier des personnes inscrites soit mis à jour et renvoyé à tous les membres du forum.
Les décisions du collectif A5 doivent être approuvées par au moins 1 personne de chaque association.
Etant donné les délais parfois courts dont nous disposons pour prendre une décision, chaque demande de décision devra comporter une date limite (réponse attendue avant le ?), il est important que toutes les associations répondent à cette demande dans les plus brefs délais, que ce soit pour manifester leur accord ou leur désaccord.
Si une association manifeste son désaccord ou qu’elle ne répond pas (ce qui sera compris comme un désaccord), le courrier, le communiqué ou la décision ne sera pas envoyée ou signée au nom du collectif A5 mais au nom des associations qui ont manifesté leur accord.
En raison des délais de réponse, des périodes de congé des uns et des autres, il est important que chaque association inscrive sur le FADAU plusieurs membres. Il est fondamental que chaque association participe aux travaux collectifs au moins en validant les décisions/courriers/communiqués.
– Rapport moral
Il serait important de communiquer davantage sur les actions du Collectif et de publier un rapport moral annuel.
Chloé se propose de le rédiger à partir du compte-rendu de cette réunion.
5- Relations extérieures
– Tentatives de communication
Afin de communiquer sur l’enquête que nous avons réalisée sur l’insertion professionnelle des diplômés en archivistique, nous avons mis en place un plan de communication pour essayer d’en parler un peu (dans la presse spécialisée comme dans la presse générale). Nous avons contacté La Gazette des communes, Archimag, Femmes territoriales, la Lettre du cadre territorial, Télérama, l’ADBS, Libération, Le Monde, L’Humanité et Le Figaro.
Seuls Archimag et La Gazette des communes nous ont répondu. Nous avons ainsi fait l’objet d’un petit article dans La Gazette des communes et nous avons eu le droit d’écrire un article pour Archimag.
Si vous avez d’autres idées pour la communication du collectif, et notamment les relais des communiqués que nous rédigeons (diffusés actuellement seulement sur les forums professionnels : AAF, archivistes territoriaux…), n’hésitez pas à le faire savoir et si vous avez l’âme et les qualités d’un attaché de presse, vous pouvez aussi vous en charger ! ! !
– ABACC :
L’ABACC est l’Association des Bibliothécaires et Attachés de Conservation du patrimoine des Collectivités territoriales. Créée en 1996, cette association compte environ 200 membres dans toute la France. Elle regroupe essentiellement des attachés de conservation du patrimoine (toutes spécialités confondues) titulaires ou contractuels mais également des représentants d’autres cadres d’emploi de la filière culturelle de la fonction publique territoriale. Ses objectifs sont principalement de défendre les droits et les intérêts statutaires des agents publics relevant des cadres d’emploi de la filière culturelle du statut de la fonction publique territoriale et du statut de la fonction publique de l’Etat, de faire connaître ces cadres d’emploi, de travailler en collaboration avec d’autres associations pour atteindre ces objectifs.
Plus d’infos sur le site Internet très complet de l’ABACC : http://www.abacc.fr
Les relations avec l’ABACC sont bonnes, la collaboration fonctionne bien (co-rédaction de courrier, communication). La plupart de nos courriers et communiqués ont été rédigés en commun avec la présidente de l’ association, Nadège Favergeon, et les membres de son
conseil d’ administration. Chloé est aussi la secrétaire de l’ABACC ce qui lui permet de faire le lien.
– AAF
Les relations avec l’AAF sont aussi excellentes, cela est grandement facilité par la présence d’Agnès au sein du bureau de l’AAF ainsi que par l’ écoute et le soutien d’Henri Zuber. Il est très important de continuer à privilégier ces relations et nos collaborations. Il faut, en effet, à tous prix éviter de faire concurrence à l’AAF et garder nos spécificités en parallèle de leur travail.
Les prochaines élections à l’AAF (en mars 2007) vont certainement modifier un peu les choses… Henri Zuber ne sera plus président de l’AAF et nous ne savons pas qui est pressenti pour le remplacer. Il est temps aussi que les archivistes universitaires soient mieux représentés au sein de l’AAF dans les différentes sections ainsi qu’au bureau.
Katell va se présenter à la section Archives municipales. Chloé et Marie-Edith Enderlé (AEDAA) vont se présenter à la section Archives départementales.
Agnès va se représenter au bureau de l’AAF mais souhaiterait ne pas être seule.
Là encore, les volontaires sont les bienvenus, l’idée étant d’avoir le plus possible de relais au sein des sections des idées du collectif et de représenter mieux ainsi la diversité des
archivistes.
– Forum « Associations patrimoine »
Le collectif A5 fait partie d’un forum d’associations du patrimoine, ce qui permet d’avoir un espace d’échanges sur des préoccupations communes et de préparer des actions collectives.
6- Elargissement du Collectif
Le collectif A5 est heureux d’accueillir les nouveaux des formations en archivistique, l’AEDA-UP, l’Association des Etudiants et Diplômés en Archivistique de l’Université de Provence. Cette association a été créée par la 1ère promo du Master 2 d’Aix-en-Provence en juin 2006. Son président, Mathieu Profizi, a manifesté le désir de rejoindre le Collectif.
Le collectif A5 est donc officiellement remplacé par le collectif A6. Cette décision devra être préalablement acceptée par les adhérents de l’AEDA-UP. D’ici l’assemblée générale de l’AEDA-UP, nous enverrons à Matthieu les différents documents de présentation du collectif afin qu’il puisse les présenter aux adhérents et valider leur participation au collectif.
Dès la constitution officielle du collectif A6, nous ferons une petite campagne de communication sur les forums et en proposant de rédiger un article pour La lettre des archivistes pour rappeler nos objectifs, nos actions et annoncer notre agrandissement au monde des archives.
Le collectif A5 est mort ! Vive le Collectif A6 !
7- Projets communs
Sur tous ces points, il faudra au préalable définir la répartition des rôles entre collectif et les différentes associations.
– Site Internet
Il serait intéressant que les sujets communs (valorisation et explication du métier par exemple, réflexions sur le métier,…) soient abordées sur un site Internet commun.
Même si certains sites sont très complets et documentés sur le sujet, on pourrait laisser sur les sites des associations les informations strictement propres à l’association.
L’idée est retenue d’élaborer un cahier des charges du site du Collectif A6 en questionnant les adhérents de chaque association sur leurs attentes concernant un site commun.
Personne chargée de coordonner les travaux sur ce thème : Qui s’en charge ?
– Organisation de journées d’études communes
L’idée est évoquée d’organiser des journées d’études communes, en complément des journées d’études des associations.
Il y a eu plusieurs appels à discussion (sur le forum de l’AAF) sur le thème des archivistes, de leur métier, de leurs salaires, de leur vision du travail, de leur avenir, de leurs conditions de travail…, le Collectif serait le bon lieu pour organiser une manifestation sur ces thèmes. Ce type de journées permettrait de parler du quotidien de tous les adhérents des associations et pourrait s’intituler « Archives et bonheur ? » ou « Le bonheur d’être archiviste » (A définir ensemble si l’idée est retenue !). Pourquoi pas l’intitulé « Archives et bonheur ? »
Une journée d’études ne peut pas être organisée par le collectif A6 directement, il faudrait donc une personne morale qui se charge de l’organisation (demandes de subventions, dépenses…). Les dépenses seraient ensuite réparties entre toutes les associations.
Chloé propose de rédiger une présentation de ce projet.
– Nouvelle enquête sur l’insertion professionnelle
En s’appuyant sur l’expérience de la 1ère enquête commune, il serait intéressant que le
Collectif continue à se préoccuper de l’insertion des diplômés en archivistique en réalisant
une nouvelle enquête. La 1ère a eu lieu en 2004 et la synthèse a été publiée fin 2005.
Elizabeth et Florence se chargent de réfléchir à une nouvelle grille d’enquête plus facile à dépouiller et dont le dépouillement se ferait de la même manière dans chaque association en utilisant un logiciel spécifique.
La question du public cible (membre des association, tout les archivistes volontaires) est également à trancher
– Publication des statistiques de l’emploi
Il serait intéressant, enfin, de publier régulièrement les statistiques réalisées au bureau emploi, cela permettra d’illustrer la situation de l’emploi d’archivistes en France et peut-être de mieux montrer sa réalité…
Qui s’en charge ?
Les personnes investies dans le collectif sont assez peu nombreuses, nous avons toujours besoin de nouveaux volontaires pour nous permettre d’étendre nos actions alors n’hésitez pas à nous rejoindre ! Vous serez les bienvenus !